Chances de réussite et volume de travail: demande de conseil
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Chances de réussite et volume de travail: demande de conseil
Bonjour à tous,
Nouvel inscrit, je crée sans scrupules un nouveau topic et je m'en excuse, mais comme beaucoup je n'ai pas toujours le temps de rechercher les réponses qui, peut-être, ont déjà été données à des interrogations similaires aux miennes.
Je me présente rapidement: 35 ans, infirmier dans une vie précédente, expatrié car ayant suivi ma compagne dans un pays trop froid, j'ai repris mes études par correspondance et suis actuellement en M1 via le Cavej affilié à Paris en droit des affaires.
Je me suis également inscrit à l'Iej de Paris 1 pour la session 2012, à la fois pour "ne pas perdre de temps" et "tenter ma chance", sans pour autant avoir une véritable passion pour la profession d'avocat, je l'avoue.
La question que je me pose est la suivante: Est-t-il raisonnable d'espérer réussir l'examen avec en tout et pour tout seulement un été de révisions, sans prépa pour soutenir le tout?
Car je dois l'avouer, passer seul à distance un quatre années de droit n'est pas toujours facile, entre les manques de contacts, de documentation et autres, sans compter les doutes afférents au niveau de la formation suivie, ce qui ne laisse que peu de temps pour la préparation de l'examen en cours d'année.
Je suis donc preneur de tous les avis, expériences personnelles, conseils, mises en gardes et autres messages, aussi durs soient-ils.
Je m'interroge plus particulièrement sur le niveau d'exigence demandé pour l'examen, est-il comparable à celui exigé pour un examen de master 1 ou 2 ou nous demande-t-on un approfondissement supplémentaire? Parce qu'autant dans le premier cas je me dis qu'il est possible d'y arriver, autant dans le second je me vois mal réussir à creuser suffisamment les matières considérées.
Je vous remercie pour vos réponses, bon courage à tous et bravo à ceux qui ont réussi le concours de cette année.
Nouvel inscrit, je crée sans scrupules un nouveau topic et je m'en excuse, mais comme beaucoup je n'ai pas toujours le temps de rechercher les réponses qui, peut-être, ont déjà été données à des interrogations similaires aux miennes.
Je me présente rapidement: 35 ans, infirmier dans une vie précédente, expatrié car ayant suivi ma compagne dans un pays trop froid, j'ai repris mes études par correspondance et suis actuellement en M1 via le Cavej affilié à Paris en droit des affaires.
Je me suis également inscrit à l'Iej de Paris 1 pour la session 2012, à la fois pour "ne pas perdre de temps" et "tenter ma chance", sans pour autant avoir une véritable passion pour la profession d'avocat, je l'avoue.
La question que je me pose est la suivante: Est-t-il raisonnable d'espérer réussir l'examen avec en tout et pour tout seulement un été de révisions, sans prépa pour soutenir le tout?
Car je dois l'avouer, passer seul à distance un quatre années de droit n'est pas toujours facile, entre les manques de contacts, de documentation et autres, sans compter les doutes afférents au niveau de la formation suivie, ce qui ne laisse que peu de temps pour la préparation de l'examen en cours d'année.
Je suis donc preneur de tous les avis, expériences personnelles, conseils, mises en gardes et autres messages, aussi durs soient-ils.
Je m'interroge plus particulièrement sur le niveau d'exigence demandé pour l'examen, est-il comparable à celui exigé pour un examen de master 1 ou 2 ou nous demande-t-on un approfondissement supplémentaire? Parce qu'autant dans le premier cas je me dis qu'il est possible d'y arriver, autant dans le second je me vois mal réussir à creuser suffisamment les matières considérées.
Je vous remercie pour vos réponses, bon courage à tous et bravo à ceux qui ont réussi le concours de cette année.
- Message(s) : 4
- Inscription : Mar 06 Déc 2011 à 9h35
Bonjour Ivrael
je me trouve dans une configuration similaire à la votre : salariée pendant de nombreuses années, et actuellement "entre 2" , j'ai sauté le pas en septembre de la double inscription M1 droit des affaires via l'enseignement à distance et préparation au Crfpa pour la session 2012.
Je ne suis pas sûre de vouloir être avocat, mais au vu de mon grand âge
et de mon vécu pro, je n'ai plus le profil psycho de la salariée traditionnelle soumise à une hiérarchie selon les cas despotique, incompétente, irrespectueuse de ses subordonnée et j'en passe
Donc pour moi désormais, c'est l'exercice libéral qui me motive ...et lorsque l'on a un bagage juridique, l'avocature semble être la voie logique. Voilà pour l'aspect motivation qui est quand même primordial quand on s'engage dans le parcours du combattant que parait être la préparation à l'examen / concours d'entrée à l'école d'avocat, qui devrait être celui de Lyon en ce qui me concerne
Si vous êtes inscrit auprès du Cavej, vous devez avoir accès à une plateforme de cours à distance qui peut constituer un bon support de départ permettant de se faire une première idée du volume de connaissances à assimiler en plus des enseignements de M1 ; d'autre part, ces mêmes enseignements collent peut être aux choix d'épreuves du Cfpa : par ex en ce qui me concerne, j'étudierai les procédures collectives et les sûretés, les cours devraient donc être à jour des derniers développements et c'est ce qui m'a incité à prendre la matière à l'écrit (sans compter bien sûr que je suis une commercialiste convaincue
)
Votre IEJ n'assure pas de formation "à distance" ? Il faudra donc vous familiariser seul avec la note de synthèse, exercice inconnu de la plupart des aspirants élèves-avocats ; il doit y avoir des bouquins sur le sujet, le secret paraissant quand même résider dans des entrainements réguliers
Et puis j'ai cru comprendre en parcourant le forum qu'une prépa estivale intensive pouvait suffire à décrocher le St Graal
Bon, à l'heure actuelle, je ne sais pas encore exactement où j'ai mis les pieds
; j'ai bien compris que la masse de travail à fournir est colossale et que nous sommes inégaux devant l'ampleur de la tâche : il en est qui assimilent plus vite que d'autres, d'autres qui sont plus dispo (pas d'emploi, pas d'enfant à gérer) d'autres ont des moyens financiers leur pemettant de choisir "la" prépa privée -
... mais quand on veut ... y a plus qu'à
je me trouve dans une configuration similaire à la votre : salariée pendant de nombreuses années, et actuellement "entre 2" , j'ai sauté le pas en septembre de la double inscription M1 droit des affaires via l'enseignement à distance et préparation au Crfpa pour la session 2012.
Je ne suis pas sûre de vouloir être avocat, mais au vu de mon grand âge


Si vous êtes inscrit auprès du Cavej, vous devez avoir accès à une plateforme de cours à distance qui peut constituer un bon support de départ permettant de se faire une première idée du volume de connaissances à assimiler en plus des enseignements de M1 ; d'autre part, ces mêmes enseignements collent peut être aux choix d'épreuves du Cfpa : par ex en ce qui me concerne, j'étudierai les procédures collectives et les sûretés, les cours devraient donc être à jour des derniers développements et c'est ce qui m'a incité à prendre la matière à l'écrit (sans compter bien sûr que je suis une commercialiste convaincue

Votre IEJ n'assure pas de formation "à distance" ? Il faudra donc vous familiariser seul avec la note de synthèse, exercice inconnu de la plupart des aspirants élèves-avocats ; il doit y avoir des bouquins sur le sujet, le secret paraissant quand même résider dans des entrainements réguliers
Et puis j'ai cru comprendre en parcourant le forum qu'une prépa estivale intensive pouvait suffire à décrocher le St Graal
Bon, à l'heure actuelle, je ne sais pas encore exactement où j'ai mis les pieds

... mais quand on veut ... y a plus qu'à

- Message(s) : 17
- Inscription : Mar 15 Nov 2011 à 16h53
- Localisation : GRENOBLE
bonjour Katerine,
Merci pour votre réponse,
Ca fait tout de même plaisir de voir que d'autres sont dans le même cas que moi! Bon je le savais déjà mais il est vrai que ça permet de se sentir un peu moins seul.
Bravo pour votre reprise d'études, ça n'est jamais facile, contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas évident de faire passer ça auprès des autres, famille et amis compris, qui parfois se demandent un peu le pourquoi du comment.
Je me permets de vous demander si vous êtes inscrite au Cavej ou à un autre institut d'études par correspondance, à simple fin d'information, car je pensais que c'était sans doute le seul (quoique je sache que la fac de Grenoble permet également de suivre un cursus de droit par correspondance).
Je suis pour ma part inscrit à l'IEJ de Paris 1, effectivement il y a des ressources en ligne mais je n'ai pas creusé pour l'instant, j'ai un peu peur de ce que pourrais y découvrir et préfère me concentrer sur mon premier semestre de M1, d'autant que je suis passablement en retard.
J'ai commandé des livres traitant de la note de synthèse, mais ce n'est pas la matière qui m'effraie le plus, au contraire, c'est un exercice qui convient bien en général. Je m'interroge surtout par rapport au niveau d'exigence demandé dans les autres matières (Grand Oral mis à part), ne sachant pas si un "simple" niveau M1 est suffisant pour réussir.
Et ce d'autant plus que j'ai validé mes années sans problèmes certes, mais sans briller non plus (entre 11.5 et 12.5 selon les années).
J'avoue que je tente le concours autant pour ne pas perdre du temps que par défi personnel, sans vraiment savoir pour le moment précisément vers quoi je me dirige en cas de réussite. Je me laisse trois mois pour y réfléchir à fond.
Echouer ne me fait pas peur, mais j'aimerais me rassurer quant à la faisabilité de ce projet personnel. Travailler comme un fou pendant quelques mois ne me pose pas de problèmes à partir du moment où je suis certain que mon parcours et mon niveau ne seront pas des obstacles. Mais travailler en vain et poursuivre une chimère, très peu pour moi.
Bon, vous me direz que celui qui travaille sérieusement n'a pas de raisons d'échouer.
A bientôt.
Merci pour votre réponse,
Ca fait tout de même plaisir de voir que d'autres sont dans le même cas que moi! Bon je le savais déjà mais il est vrai que ça permet de se sentir un peu moins seul.
Bravo pour votre reprise d'études, ça n'est jamais facile, contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas évident de faire passer ça auprès des autres, famille et amis compris, qui parfois se demandent un peu le pourquoi du comment.
Je me permets de vous demander si vous êtes inscrite au Cavej ou à un autre institut d'études par correspondance, à simple fin d'information, car je pensais que c'était sans doute le seul (quoique je sache que la fac de Grenoble permet également de suivre un cursus de droit par correspondance).
Je suis pour ma part inscrit à l'IEJ de Paris 1, effectivement il y a des ressources en ligne mais je n'ai pas creusé pour l'instant, j'ai un peu peur de ce que pourrais y découvrir et préfère me concentrer sur mon premier semestre de M1, d'autant que je suis passablement en retard.
J'ai commandé des livres traitant de la note de synthèse, mais ce n'est pas la matière qui m'effraie le plus, au contraire, c'est un exercice qui convient bien en général. Je m'interroge surtout par rapport au niveau d'exigence demandé dans les autres matières (Grand Oral mis à part), ne sachant pas si un "simple" niveau M1 est suffisant pour réussir.
Et ce d'autant plus que j'ai validé mes années sans problèmes certes, mais sans briller non plus (entre 11.5 et 12.5 selon les années).
J'avoue que je tente le concours autant pour ne pas perdre du temps que par défi personnel, sans vraiment savoir pour le moment précisément vers quoi je me dirige en cas de réussite. Je me laisse trois mois pour y réfléchir à fond.
Echouer ne me fait pas peur, mais j'aimerais me rassurer quant à la faisabilité de ce projet personnel. Travailler comme un fou pendant quelques mois ne me pose pas de problèmes à partir du moment où je suis certain que mon parcours et mon niveau ne seront pas des obstacles. Mais travailler en vain et poursuivre une chimère, très peu pour moi.
Bon, vous me direz que celui qui travaille sérieusement n'a pas de raisons d'échouer.
A bientôt.
- Message(s) : 4
- Inscription : Mar 06 Déc 2011 à 9h35
Bonsoir Ivrael
S’agissant du M1, je suis effectivement inscrite auprès du service enseignement à distance de la fac de Grenoble.
Pour ce qui est de la prépa au Cfpa, je me rends aux modules de formation / galops d’essai organisés le samedi matin ou le soir en semaine à partir de 17 h 30. Pour l’instant, le rythme n’est pas violent ce qui me va bien car j’habite à 50 km ; demain matin, 1ère note de synthèse sans filet, j’ai compris la méthodo, reste à l’appliquer en
S’agissant du M1, je suis effectivement inscrite auprès du service enseignement à distance de la fac de Grenoble.
Pour ce qui est de la prépa au Cfpa, je me rends aux modules de formation / galops d’essai organisés le samedi matin ou le soir en semaine à partir de 17 h 30. Pour l’instant, le rythme n’est pas violent ce qui me va bien car j’habite à 50 km ; demain matin, 1ère note de synthèse sans filet, j’ai compris la méthodo, reste à l’appliquer en
- Message(s) : 17
- Inscription : Mar 15 Nov 2011 à 16h53
- Localisation : GRENOBLE
Bonjour à tous,
La lecture de vos messages me projette les questions que je me posais il y a un an lorsque j'ai décidé de me présenter à l'examen d'entrée au CRFPA (Paris 2,en ce qui me concerne). Ma formation juridique remontait à...17 ans et même si j'ai pratiqué le droit dans l'intervalle, il s'agissait d'une véritable reprise d'études - en étant salarié et en élevant 2 enfants de 10 et 8 ans, de surcroît.
Voici les quelques leçons que j'ai tirées de cette expérience :
1/ Sur le niveau de l'examen : il ne me semble pas (mais c'est peut-être propre à l'IEJ de Paris 2), que le niveau requis soit sensiblement supérieur à celui d'un M1 ; en particulier, je dois dire que j'ai été plutôt surpris par la notation, qui m'a paru franchement clémente
2/ La difficulté réside davantage dans les épreuves rencontrées : une épreuve nouvelle (la note de synthèse) et des épreuves qui ne sont plus - en elles-mêmes - étudiées depuis les premières années (droit des obligations, procédure civile) : dans ces matières, je me suis surtout renseigné sur la méthodologie attendue par les examinateurs (les galops d'essai sont précieux, sur ce plan) ; l'épreuve du grand oral est également assez particulière
3/ Il m'a semblé préférable de privilégier la constance (1 à 2 heures chaque soir) plutôt que le "bachottage" les dernières semaines : cet examen est une épreuve de longue haleine, et il y a un vrai risque d'arriver épuisé lors des oraux, spécialement pour ceux qui ont une vie professionnelle (salariés, stagiaires) ou familiale (enfants) "chronophage". Personnellement, j'ai eu un peu de mal à enchaîner des réunions tardives au travail avec un oral "technique" (voies d'exécutions, par exemple) le lendemain matin
J'abonde sur les propos tenus : si vous travaillez sérieusement, le risque d'échec est d'autant plus faible que, fort de vos expériences d'adulte, vous bénéficiez d'une maturité et d'une distance dont vous ne disposiez pas forcément à 21 ans (pour ma part, en tout cas)
Au final, c'est une belle aventure et je vous recommande vivement de vous y engager car elle vous apportera des enseignements sur vous-mêmes et des gratifications qui vont au-delà d'un simple examen
Je vous souhaite bon courage et - surtout - d'y prendre beaucoup de plaisir (cela me semble essentiel)
Bon dimanche à toutes et à tous
La lecture de vos messages me projette les questions que je me posais il y a un an lorsque j'ai décidé de me présenter à l'examen d'entrée au CRFPA (Paris 2,en ce qui me concerne). Ma formation juridique remontait à...17 ans et même si j'ai pratiqué le droit dans l'intervalle, il s'agissait d'une véritable reprise d'études - en étant salarié et en élevant 2 enfants de 10 et 8 ans, de surcroît.
Voici les quelques leçons que j'ai tirées de cette expérience :
1/ Sur le niveau de l'examen : il ne me semble pas (mais c'est peut-être propre à l'IEJ de Paris 2), que le niveau requis soit sensiblement supérieur à celui d'un M1 ; en particulier, je dois dire que j'ai été plutôt surpris par la notation, qui m'a paru franchement clémente
2/ La difficulté réside davantage dans les épreuves rencontrées : une épreuve nouvelle (la note de synthèse) et des épreuves qui ne sont plus - en elles-mêmes - étudiées depuis les premières années (droit des obligations, procédure civile) : dans ces matières, je me suis surtout renseigné sur la méthodologie attendue par les examinateurs (les galops d'essai sont précieux, sur ce plan) ; l'épreuve du grand oral est également assez particulière
3/ Il m'a semblé préférable de privilégier la constance (1 à 2 heures chaque soir) plutôt que le "bachottage" les dernières semaines : cet examen est une épreuve de longue haleine, et il y a un vrai risque d'arriver épuisé lors des oraux, spécialement pour ceux qui ont une vie professionnelle (salariés, stagiaires) ou familiale (enfants) "chronophage". Personnellement, j'ai eu un peu de mal à enchaîner des réunions tardives au travail avec un oral "technique" (voies d'exécutions, par exemple) le lendemain matin
J'abonde sur les propos tenus : si vous travaillez sérieusement, le risque d'échec est d'autant plus faible que, fort de vos expériences d'adulte, vous bénéficiez d'une maturité et d'une distance dont vous ne disposiez pas forcément à 21 ans (pour ma part, en tout cas)
Au final, c'est une belle aventure et je vous recommande vivement de vous y engager car elle vous apportera des enseignements sur vous-mêmes et des gratifications qui vont au-delà d'un simple examen
Je vous souhaite bon courage et - surtout - d'y prendre beaucoup de plaisir (cela me semble essentiel)
Bon dimanche à toutes et à tous
- Message(s) : 1
- Inscription : Dim 11 Déc 2011 à 13h31
- Localisation : PARIS
Bonjour Frédéric,
Je te remercie, certes avec beaucoup de retard, pour ton témoignage et tes conseils! Ca met un peu de baume au coeur.
Je ne sais pas si tu repasseras par là, mais je tente tout de même: Ton "grand âge" (je m'inclus dans la catégorie tout en en réfutant l'à propos), a-t-il été un frein ou au contraire un atout dans la recherche et l'obtention, d'abord de stages, puis d'un emploi?
Parce que j'avoue que je crains un peu la réaction des entreprises, cabinets et autres recruteurs devant des parcours comme les nôtres (bien que je sois intimement persuadé qu'au contraire ce soient des atouts précieux).
Question ouverte d'ailleurs à qui se sent de témoigner.
bonne journée.
Je te remercie, certes avec beaucoup de retard, pour ton témoignage et tes conseils! Ca met un peu de baume au coeur.
Je ne sais pas si tu repasseras par là, mais je tente tout de même: Ton "grand âge" (je m'inclus dans la catégorie tout en en réfutant l'à propos), a-t-il été un frein ou au contraire un atout dans la recherche et l'obtention, d'abord de stages, puis d'un emploi?
Parce que j'avoue que je crains un peu la réaction des entreprises, cabinets et autres recruteurs devant des parcours comme les nôtres (bien que je sois intimement persuadé qu'au contraire ce soient des atouts précieux).
Question ouverte d'ailleurs à qui se sent de témoigner.
bonne journée.
- Message(s) : 4
- Inscription : Mar 06 Déc 2011 à 9h35
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